L'histoire d'Adrien qui ne dormait pas du tout

Une des surprises que vous avez peut-être eue depuis la naissance de votre enfant est le changement drastique qui a bouleversé vos nuits. Bien sûr, vous saviez qu’un nouveau-né boit la nuit, mais vous ne vous imaginiez sûrement pas que vous auriez à vous relever aussi souvent, sauf ci cet enfant n’est pas votre premier-né. Au bout de quelques semaines, vous avez probablement aussi constaté que la faim n’est pas seulement ce qui garde votre bébé éveillé. Eh oui, bébé semble rassasié et pourtant il pleure encore dans vos bras ou bien se met à pleurer dès que sa tête touche le matelas. Qu’est-ce qui se passe ? Vous avez très hâte de retourner entre vos draps, pourquoi pas lui ?
Donner la parole à un bébé…
Dans cet article, je vous ferai part des informations que l’on peut aller chercher concrètement une auprès de la Sagesse d’un très jeune bébé. Lorsqu’on lui donne la parole grâce à cette approche corporelle toute simple qui se nomme PAB (Parole Au Bébé), on découvre une autre facette du nourrisson. L’enfant que j’ai choisi de vous présenter se nomme Adrien et il dormait très peu. Voici l’histoire de son problème de sommeil… de son point de vue à lui.
Adrien est âgée de 5 semaines et il ne dort pas, ni la nuit, ni le jour. Ses parents le voient bien quand il est fatigué : on le met au lit, il semble glisser facilement vers le sommeil et voilà qu’au moment où on le voit s’abandonner, il sursaute comme s’il avait reçu un choc électrique, tente de se redresser, crie, pleure et ne s’endort plus du tout. Épuisés, ses parents ont tout essayé : ni des bras patients, ni la poussette, ni le porte-bébé, ni l’auto ne l’aident à s’endormir. Un court somme suit finalement de longs pleurs et Adrien s’endort d’épuisement pour un bref sommeil agité et nerveux.
La P.A.B. est une approche qui nous permet de traduire les réponses que nous livrent la Sagesse du corps et l’intelligence innée de l’Être grâce au «test de la réponse musculaire». Cette approche à la fois physique et énergétique qui ne nécessite aucun don particulier –mais solide formation et de la pratique- nous a permis d’identifier les éléments majeurs à la source du problème de sommeil d’Adrien.
Deux causes principales…
Bien des causes peuvent être à l’origine d’un problème de sommeil chez un nourrisson : une peur, une difficulté d’adaptation, un traumatisme (physique, relationnel, psycho-émotionnel, énergétique, existentiel, etc.) liés à un événement du début de sa vie, voire même de la vie prénatale ou de la naissance. Mais dans le cas d’Adrien plus précisément, la cause est double : physique et émotionnelle.
Une souffrance physique…
Le test kinésiologique révèle que, pour Adrien, sa difficulté à dormir provient d’une tension au niveau du cou qui l’empêche de tourner la tête librement. En effet, au moment où un bébé -n’importe quel nourrisson- est sur le point de s’endormir, sa tête se tourne automatiquement vers la droite ou vers la gauche: c’est le «réflexe tonique du cou». Ce réflexe normal qui existe chez tous les bébés jusqu’au sixième mois environ, les protège de l’étouffement s’ils venaient à régurgiter pendant leur sommeil. À cause de cette tension du cou, Adrien ressent une souffrance physique intense au moment où sa tête s’abandonne d’un côté ou de l’autre, douleur qui l’empêche d’adopter la position naturelle du sommeil propre aux bébés de son âge.
L’Intelligence innée du corps d’Adrien précise que cette tension est due à la compression que sa tête a subie dans le petit bassin de sa mère durant les dernières journées de sa gestation.
Au niveau émotionnel…
La Sagesse du corps d’Adrien nous fait également part d’un sentiment qui s’est éveillé en lui lors des dernières journées qui ont précédé sa naissance. Il nous dit s’être senti coïncé et impuissant. Sa réaction personnelle alors a été de résister. Sa naissance a été très difficile pour cette même raison et ce sentiment se ravive chaque fois qu’il fait face à une situation qui demande un certain lâcher-prise comme le sommeil par exemple. Il se tend pour résister à ce qu’il croit être un réel danger pour lui.
Durant toute la consultation, Adrien a été silencieux, très présent, les yeux grand ouverts mais lorsque nous avons abordé cet aspect psycho-émotionnel de sa situation, il s’est mis à pleurer à gros sanglots. Il nous exprimait à sa façon combien cette émotion était intense et douloureuse pour lui. Après quelques minutes, ses parents l’ont vu se détendre profondément et, pour la première fois de sa courte vie, sa tête s’est complètement tournée sur le côté, le visage éclairé d’un sourire éclatant.
Son remède…
Pour parfaire le travail au niveau physique, l’intelligence innée d’Adrien suggère une rencontre en ostéopathie. Un seul rendez-vous a été nécessaire chez une ostéopathe qu’il a identifiée de façon précise. Le travail s’est fait tout en douceur puisque le symptôme avait livré son message. L’Être avait été entendu et compris. Des bébés naissent parfois avec un torticolis congénital et passent des mois en physiothérapie avec peu de résultats. Le bébé est un être complet et complexe, et un symptôme physique, surtout en début de vie, est souvent relié directement à une émotion et/ou une pensée qu’il faut apaiser en priorité.
Bercer bébé des heures durant, l’installer dans son siège d’auto ou faire jouer un mobile musical ne sont pas des solutions à long terme ni, surtout, des remèdes qui guérissent une souffrance profonde. Mon travail de traductrice auprès d’un tout petit, né ou à naître, est de l’aider à exprimer et partager avec nous sa difficulté et le moyen d’y répondre adéquatement. En début de vie, bâtir la confiance en ses parents aura un effet positif pour son estime de lui-même pour tout le reste de sa vie.
Donner la parole à un bébé…
Dans cet article, je vous ferai part des informations que l’on peut aller chercher concrètement une auprès de la Sagesse d’un très jeune bébé. Lorsqu’on lui donne la parole grâce à cette approche corporelle toute simple qui se nomme PAB (Parole Au Bébé), on découvre une autre facette du nourrisson. L’enfant que j’ai choisi de vous présenter se nomme Adrien et il dormait très peu. Voici l’histoire de son problème de sommeil… de son point de vue à lui.
Adrien est âgée de 5 semaines et il ne dort pas, ni la nuit, ni le jour. Ses parents le voient bien quand il est fatigué : on le met au lit, il semble glisser facilement vers le sommeil et voilà qu’au moment où on le voit s’abandonner, il sursaute comme s’il avait reçu un choc électrique, tente de se redresser, crie, pleure et ne s’endort plus du tout. Épuisés, ses parents ont tout essayé : ni des bras patients, ni la poussette, ni le porte-bébé, ni l’auto ne l’aident à s’endormir. Un court somme suit finalement de longs pleurs et Adrien s’endort d’épuisement pour un bref sommeil agité et nerveux.
La P.A.B. est une approche qui nous permet de traduire les réponses que nous livrent la Sagesse du corps et l’intelligence innée de l’Être grâce au «test de la réponse musculaire». Cette approche à la fois physique et énergétique qui ne nécessite aucun don particulier –mais solide formation et de la pratique- nous a permis d’identifier les éléments majeurs à la source du problème de sommeil d’Adrien.
Deux causes principales…
Bien des causes peuvent être à l’origine d’un problème de sommeil chez un nourrisson : une peur, une difficulté d’adaptation, un traumatisme (physique, relationnel, psycho-émotionnel, énergétique, existentiel, etc.) liés à un événement du début de sa vie, voire même de la vie prénatale ou de la naissance. Mais dans le cas d’Adrien plus précisément, la cause est double : physique et émotionnelle.
Une souffrance physique…
Le test kinésiologique révèle que, pour Adrien, sa difficulté à dormir provient d’une tension au niveau du cou qui l’empêche de tourner la tête librement. En effet, au moment où un bébé -n’importe quel nourrisson- est sur le point de s’endormir, sa tête se tourne automatiquement vers la droite ou vers la gauche: c’est le «réflexe tonique du cou». Ce réflexe normal qui existe chez tous les bébés jusqu’au sixième mois environ, les protège de l’étouffement s’ils venaient à régurgiter pendant leur sommeil. À cause de cette tension du cou, Adrien ressent une souffrance physique intense au moment où sa tête s’abandonne d’un côté ou de l’autre, douleur qui l’empêche d’adopter la position naturelle du sommeil propre aux bébés de son âge.
L’Intelligence innée du corps d’Adrien précise que cette tension est due à la compression que sa tête a subie dans le petit bassin de sa mère durant les dernières journées de sa gestation.
Au niveau émotionnel…
La Sagesse du corps d’Adrien nous fait également part d’un sentiment qui s’est éveillé en lui lors des dernières journées qui ont précédé sa naissance. Il nous dit s’être senti coïncé et impuissant. Sa réaction personnelle alors a été de résister. Sa naissance a été très difficile pour cette même raison et ce sentiment se ravive chaque fois qu’il fait face à une situation qui demande un certain lâcher-prise comme le sommeil par exemple. Il se tend pour résister à ce qu’il croit être un réel danger pour lui.
Durant toute la consultation, Adrien a été silencieux, très présent, les yeux grand ouverts mais lorsque nous avons abordé cet aspect psycho-émotionnel de sa situation, il s’est mis à pleurer à gros sanglots. Il nous exprimait à sa façon combien cette émotion était intense et douloureuse pour lui. Après quelques minutes, ses parents l’ont vu se détendre profondément et, pour la première fois de sa courte vie, sa tête s’est complètement tournée sur le côté, le visage éclairé d’un sourire éclatant.
Son remède…
Pour parfaire le travail au niveau physique, l’intelligence innée d’Adrien suggère une rencontre en ostéopathie. Un seul rendez-vous a été nécessaire chez une ostéopathe qu’il a identifiée de façon précise. Le travail s’est fait tout en douceur puisque le symptôme avait livré son message. L’Être avait été entendu et compris. Des bébés naissent parfois avec un torticolis congénital et passent des mois en physiothérapie avec peu de résultats. Le bébé est un être complet et complexe, et un symptôme physique, surtout en début de vie, est souvent relié directement à une émotion et/ou une pensée qu’il faut apaiser en priorité.
Bercer bébé des heures durant, l’installer dans son siège d’auto ou faire jouer un mobile musical ne sont pas des solutions à long terme ni, surtout, des remèdes qui guérissent une souffrance profonde. Mon travail de traductrice auprès d’un tout petit, né ou à naître, est de l’aider à exprimer et partager avec nous sa difficulté et le moyen d’y répondre adéquatement. En début de vie, bâtir la confiance en ses parents aura un effet positif pour son estime de lui-même pour tout le reste de sa vie.