L'histoire de la petite Marie
À la suite de la parution des articles qu je publie, vous me demandez souvent ce qu’est réellement une consultation en P.A.B. (Parole Au Bébé). Je réponds donc aujourd’hui à vos demandes. Pour vous faire part de ce que peut donner concrètement une consultation avec un bébé à qui l’on donne -véritablement- la parole grâce à cette technique à la fois corporelle et énergétique toute simple, je vous présente l’histoire d’une petite fille de trois mois. Appelons-la Marie pour protéger la confidentialité. Voici l’histoire du début de sa vie… de son point de vue à elle.
Un retard de croissance…
Marie est très maigre. Le pédiatre qui la suit régulièrement fait mention d’un retard de croissance physique (mais pas mentale) dû au fait qu’elle vomit tout lait qu’on lui offre, y compris le lait maternel et chacune des différentes formules commerciales (lactée, soya ou hypo-allergène) qu’il lui a prescrites. Ses parents doivent la stimuler constamment tout au long de la longue heure que dure chaque boire. De plus, elle ne pleure presque jamais, ni pour être nourrie, ni pour être prise. Elle gémit parfois, mais sans plus et son visage porte un masque de tristesse. Elle détourne aussi le regard quand on essaie de le capter.
Un travail d’équipe…
Nous travaillerons ensemble sur plusieurs niveaux, en trois rencontres échelonnées sur deux semaines. La PAB® nous permet de traduire les réponses que nous livrent la Sagesse et l’intelligence innée de l’être grâce au test de la réponse musculaire propre à la Kinésiologie Appliquée dont je me suis inspirée pour créer la P.A.B. Cette approche à la fois physique et énergétique ne nécessite aucun don particulier –mais une solide formation et de la pratique. Dans ce cas-ci, la P.A.B. nous a permis d’identifier plusieurs éléments de réponse pour mieux comprendre la cause des vomissements de la petite Marie. On a aussi mieux compris sa difficulté à entrer en relation. Durant une consultation de P.A.B. tout se passe à voix haute. Je pose toutes mes questions à l’enfant directement, rien n’est caché en moi. Et, bien sûr, les parents sont présents puisqu’il s’agit d’un bébé -leur bébé!- et que l’un d’eux servira d’intermédiaire pour dialoguer avec l’enfant.
Une cause émotionnelle…
Tout d’abord, Marie nous fait part de sa tristesse. La Sagesse de son être précise encore plus l’origine de cette émotion: «Je suis en deuil de mon frère que j’ai perdu pendant ma gestation». Lorsqu’elle entend cela, la mère est très surprise parce qu’elle ne s’était pas du tout rendu compte d’avoir porté des jumeaux (et encore moins d’en avoir perdu un). Elle se souvient, en creusant un peu, avoir eu des saignements à la fin du premier mois et avoir failli faire une fausse-couche vers le cinquième mois.
Toute une histoire de famille…
En avançant un peu plus profondément, la Sagesse de Marie précise que dès les premières semaines de sa gestation, elle a interprété qu’« on me tolère si je prends soin et protège ». Le risque de fausse-couche vers le cinquième mois avait été provoqué par la culpabilité de Marie de continuer à vivre sans avoir réussi à prendre soin et protéger son jumeau, mort à six semaines. Bien avant sa naissance, Marie a donc appris, au contact d’une philosophie familiale actuelle qu’« une femme sert les autres et n’a pas le droit de demander pour elle-même ».
Une cause existentielle…
Le processus de guérison de Marie est lié à sa faculté de tirer un apprentissage de son expérience de deuil fœtal. En effet, comprendre ce traumatisme lui donne un sens qui prépare et initie la guérison. Au seuil de sa jeune vie, sa Sagesse nous dit que Marie est en train d’apprendre à se donner la permission d’expérimenter une vie pour elle, c’est-à-dire en tant qu’individu et en tant que femme et non en tant qu’une aide utile aux autres. Elle est venue -entre autres objectifs- dans cette vie, guérir un vieux réflexe de négation de soi transmis de mère en fille durant les six dernières générations (c’est ce que l’on appelle un «legs transgénérationnel»).
Une décision importante…
À cette étape-ci de notre rendez-vous, Marie doit décider maintenant si elle veut rester en vie en acceptant de s’alimenter. Avoir nommé de façon juste et précise le contexte du début de sa vie ainsi que les différents enjeux présents lui rend cette acceptation possible. Ouf! La prise d’un élixir floral que la Sagesse du corps de Marie nous précise (ainsi que la posologie) viendra parfaire le travail au niveau profond et subtil. Le subconscient de Marie nous dit aussi être en train d’apprendre à demander pour elle-même. Cela signifie par exemple pleurer quand elle a faim. De son côté, la mère prend conscience de l’importance de se donner la permission d’exister pour elle-même. Son exemple quotidien aidera Marie; elles chemineront ensemble, l’une accompagnant l’autre dans cet apprentissage commun. Elles forment ni plus ni moins une équipe de travail.
Au plan physique…
J’ai mis au point la PAB® en tant qu’approche globale de l’être. C’est pour cette raison qu’après avoir mieux compris les émotions, les pensées et même l’objectif d’âme de Marie que nous nous sommes penchés sur un besoin physique. Marie nous a confirmé alors sa capacité d’être allaitée et l’intelligence innée de son corps a identifié le lait maternel comme son aliment de préférence. Elle précise également la formule lactée commerciale idéale pour elle (en nous en indiquant la marque) qu’on pourra lui donner après le sevrage.
Des résultats…
Lors de notre dernière rencontre, les parents m’annoncent que Marie ne vomit plus du tout. Elle engraisse doucement, mais régulièrement et on ne voit presque plus ses côtes sous sa peau. Elle pleure plus ce qui, dans son cas, est une très bonne nouvelle! Elle se réveille d’elle-même une fois la nuit pour boire et, le jour, réclame sa tétée aux trois heures. environ Ses parents n’ont plus à l’encourager à boire. On profite de cette dernière rencontre pour accéder au souhait de la conscience de Marie de voir réajustés certains ingrédients des menus de sa mère durant le temps que durera encore l’allaitement et en suggérant l’ajout de certains suppléments dont de l’huile de lin et du calcium.
Conclusion...
Heureusement, vous ne rencontrerez pas avec votre bébé des difficultés aussi intenses que les parents de la petite Marie, mais je voulais vous montrer à quel point la PAB® peut réussir à faire entendre la « voix » de l’enfant préverbal dans son quotidien et nous aider à comprendre tout ce qu’il ne peut encore nous expliquer en mots. Que votre bébé présente des symptômes physiques importants ou que vous ayez envie de mieux comprendre pourquoi il n’arrive pas à bien dormir, cette technique fait efficacement -et évidemment sans aucun effet secondaire- son travail de traduction lors des petites ou des grandes étapes qui jalonnent l’enfance.
Un retard de croissance…
Marie est très maigre. Le pédiatre qui la suit régulièrement fait mention d’un retard de croissance physique (mais pas mentale) dû au fait qu’elle vomit tout lait qu’on lui offre, y compris le lait maternel et chacune des différentes formules commerciales (lactée, soya ou hypo-allergène) qu’il lui a prescrites. Ses parents doivent la stimuler constamment tout au long de la longue heure que dure chaque boire. De plus, elle ne pleure presque jamais, ni pour être nourrie, ni pour être prise. Elle gémit parfois, mais sans plus et son visage porte un masque de tristesse. Elle détourne aussi le regard quand on essaie de le capter.
Un travail d’équipe…
Nous travaillerons ensemble sur plusieurs niveaux, en trois rencontres échelonnées sur deux semaines. La PAB® nous permet de traduire les réponses que nous livrent la Sagesse et l’intelligence innée de l’être grâce au test de la réponse musculaire propre à la Kinésiologie Appliquée dont je me suis inspirée pour créer la P.A.B. Cette approche à la fois physique et énergétique ne nécessite aucun don particulier –mais une solide formation et de la pratique. Dans ce cas-ci, la P.A.B. nous a permis d’identifier plusieurs éléments de réponse pour mieux comprendre la cause des vomissements de la petite Marie. On a aussi mieux compris sa difficulté à entrer en relation. Durant une consultation de P.A.B. tout se passe à voix haute. Je pose toutes mes questions à l’enfant directement, rien n’est caché en moi. Et, bien sûr, les parents sont présents puisqu’il s’agit d’un bébé -leur bébé!- et que l’un d’eux servira d’intermédiaire pour dialoguer avec l’enfant.
Une cause émotionnelle…
Tout d’abord, Marie nous fait part de sa tristesse. La Sagesse de son être précise encore plus l’origine de cette émotion: «Je suis en deuil de mon frère que j’ai perdu pendant ma gestation». Lorsqu’elle entend cela, la mère est très surprise parce qu’elle ne s’était pas du tout rendu compte d’avoir porté des jumeaux (et encore moins d’en avoir perdu un). Elle se souvient, en creusant un peu, avoir eu des saignements à la fin du premier mois et avoir failli faire une fausse-couche vers le cinquième mois.
Toute une histoire de famille…
En avançant un peu plus profondément, la Sagesse de Marie précise que dès les premières semaines de sa gestation, elle a interprété qu’« on me tolère si je prends soin et protège ». Le risque de fausse-couche vers le cinquième mois avait été provoqué par la culpabilité de Marie de continuer à vivre sans avoir réussi à prendre soin et protéger son jumeau, mort à six semaines. Bien avant sa naissance, Marie a donc appris, au contact d’une philosophie familiale actuelle qu’« une femme sert les autres et n’a pas le droit de demander pour elle-même ».
Une cause existentielle…
Le processus de guérison de Marie est lié à sa faculté de tirer un apprentissage de son expérience de deuil fœtal. En effet, comprendre ce traumatisme lui donne un sens qui prépare et initie la guérison. Au seuil de sa jeune vie, sa Sagesse nous dit que Marie est en train d’apprendre à se donner la permission d’expérimenter une vie pour elle, c’est-à-dire en tant qu’individu et en tant que femme et non en tant qu’une aide utile aux autres. Elle est venue -entre autres objectifs- dans cette vie, guérir un vieux réflexe de négation de soi transmis de mère en fille durant les six dernières générations (c’est ce que l’on appelle un «legs transgénérationnel»).
Une décision importante…
À cette étape-ci de notre rendez-vous, Marie doit décider maintenant si elle veut rester en vie en acceptant de s’alimenter. Avoir nommé de façon juste et précise le contexte du début de sa vie ainsi que les différents enjeux présents lui rend cette acceptation possible. Ouf! La prise d’un élixir floral que la Sagesse du corps de Marie nous précise (ainsi que la posologie) viendra parfaire le travail au niveau profond et subtil. Le subconscient de Marie nous dit aussi être en train d’apprendre à demander pour elle-même. Cela signifie par exemple pleurer quand elle a faim. De son côté, la mère prend conscience de l’importance de se donner la permission d’exister pour elle-même. Son exemple quotidien aidera Marie; elles chemineront ensemble, l’une accompagnant l’autre dans cet apprentissage commun. Elles forment ni plus ni moins une équipe de travail.
Au plan physique…
J’ai mis au point la PAB® en tant qu’approche globale de l’être. C’est pour cette raison qu’après avoir mieux compris les émotions, les pensées et même l’objectif d’âme de Marie que nous nous sommes penchés sur un besoin physique. Marie nous a confirmé alors sa capacité d’être allaitée et l’intelligence innée de son corps a identifié le lait maternel comme son aliment de préférence. Elle précise également la formule lactée commerciale idéale pour elle (en nous en indiquant la marque) qu’on pourra lui donner après le sevrage.
Des résultats…
Lors de notre dernière rencontre, les parents m’annoncent que Marie ne vomit plus du tout. Elle engraisse doucement, mais régulièrement et on ne voit presque plus ses côtes sous sa peau. Elle pleure plus ce qui, dans son cas, est une très bonne nouvelle! Elle se réveille d’elle-même une fois la nuit pour boire et, le jour, réclame sa tétée aux trois heures. environ Ses parents n’ont plus à l’encourager à boire. On profite de cette dernière rencontre pour accéder au souhait de la conscience de Marie de voir réajustés certains ingrédients des menus de sa mère durant le temps que durera encore l’allaitement et en suggérant l’ajout de certains suppléments dont de l’huile de lin et du calcium.
Conclusion...
Heureusement, vous ne rencontrerez pas avec votre bébé des difficultés aussi intenses que les parents de la petite Marie, mais je voulais vous montrer à quel point la PAB® peut réussir à faire entendre la « voix » de l’enfant préverbal dans son quotidien et nous aider à comprendre tout ce qu’il ne peut encore nous expliquer en mots. Que votre bébé présente des symptômes physiques importants ou que vous ayez envie de mieux comprendre pourquoi il n’arrive pas à bien dormir, cette technique fait efficacement -et évidemment sans aucun effet secondaire- son travail de traduction lors des petites ou des grandes étapes qui jalonnent l’enfance.