S'il-vous-plaît, "n'attendez" plus un bébé!
(ou l'histoire de Claudine qui ne croyait pas être bienvenue)
La période prénatale est l'un des sujets fascinants de l'heure. De plus en plus de chercheurs de tous les horizons se penchent sur l’enfant prénatal. On étudie ses capacités physiques ainsi que son premier milieu de vie. Tout cela était très intéressant, mais maintenant les parents découvrent qu’eux-mêmes peuvent se rapprocher eux-mêmes de leur bébé et en retirer de très grands plaisirs. Il est même possible de donner littéralement la parole au bébé in utero grâce à la P.A.B. (Parole Au Bébé). Au moyen de cette approche, les parents rencontrent alors une vraie personne… qui ressent et qui pense.
La parole de l’enfant prénatal…
Lorsque l’on se met à bien écouter, lui, cet enfant en train de se préparer à se mettre au monde, on constate qu’il peut s’exprimer, puis ensuite qu’il en a long à dire et enfin que ce qu’il dit a beaucoup de sens. Bien sûr, l’enfant prénatal ne maîtrise pas les mots. Un si jeune bébé ne parle pas, mais il s’exprime quand même, et de plusieurs façons. Donner la parole à cet être installé aux premières loges, au moment même où se joue le premier acte de sa vie, nous aide à mieux comprendre cette nouvelle personne et construire la relation. Alors, il est plus facile pour les parents de véritablement l'accueillir, l'accompagner, l'aimer, le comprendre, le connaître et même, dans certains cas, de l'aider... tout cela avant même de le voir. Ces parents qui dialoguent avec leur enfant cessent d’attendre un bébé. Puisqu’il le découvrent déjàa là, déjà présent. Ils arrivent à le rencontrer, l’accueillir et l’accompagner très concrètement.
Des causes prénatales…
Le temps d'une gestation est somme toute assez court et pour cette raison le temps est compté. La période est cruciale parce qu’en ce moment, un nouvel Être est en train de poser les bases physiques et psychiques sur lesquelles s'appuieront les murs de sa personnalité naissante. Les thérapeutes qui se penchent sur les maux des adultes font souvent le rapprochement direct entre ces symptômes de la vie adulte et une cause prénatale. Dans ma pratique, je constate cela très souvent. Bien des auteurs affirment que ces neufs mois de pré-histoire ont un effet majeur sur toute la suite de la vie. Alors, pourquoi ne pas travailler en prévention, c’est-à-dire auprès de l’enfant, bien avant sa naissance de sorte qu’il n’ait pas à passer les quarante années suivantes à défaire et guérir ce qu’il aura vécu au seuil de sa jeune vie?
Lui poser des questions…
Penser et parler à son bébé sont des gestes qui portent fruit, mais il est maintenant possible de rejoindre l’enfant in utero d’une façon encore plus intime en lui donnant littéralement la parole. En effet, grâce à la PAB® que j’ai mise au point en m’inspirant du test musculaire propre à la Kinésiologie Appliquée, les parents-en-devenir peuvent même poser des questions à leur bébé telles que: « Es-tu bien là où tu es? Es-tu confortable, es-tu heureux dans mon ventre? », « Que puis-je faire pour faciliter ta gestation, ta naissance et ton début de vie sur Terre? », « Que viens-tu faire ici, dans ta vie, dans notre vie? », « Qu’est-ce qui est important pour toi maintenant? », et mille autres questions…
L’aider…
Dans certains cas, lui donner la parole nous permet aussi d’aider cet être qui se tient sur le seuil de sa nouvelle incarnation. Il a appelé à l’aide, à sa manière de bébé pas encore né, avec les moyens dont il dispose. Alors, la mère-en-devenir a souffert de contractions trop précoces, de saignements, de perte de liquide amniotique, de décollement partiel du placenta, d’insomnie, d’angoisse ou d’autres maux physiques (diabète gestationnel, haute pression, par exemple). Effectivement, en donnant la parole au bébé, j’ai pris conscience que celui-ci parle bien souvent par l’entremise du corps de sa mère. De son côté, cet enfant in utero parle aussi en ne voulant pas se présenter de la bonne façon, en ne se retournant pas, en ne se développant normalement ou en tardant à déclencher les premières contractions de sa naissance même s’il est vraiment prêt. Tous ces symptômes peuvent être la manifestation de son expression, comme nous l’avons constaté avec Claudine, petit bébé qui naitra dans un peu plus de trois mois, que voici :
L’histoire de Claudine in utero…
Lors de son premier rendez-vous avec moi en P.A.B., au creux de l’utérus de sa mère, Claudine est si petite que le gynécologue soupçonne un arrêt du développement fœtal. À plus de six mois, le ventre de la maman parait à peine bombé. Émue, sa mère m’explique qu’elle croit que Claudine est désintéressée par le fait de rester en vie, pas « accrochée » solidement. Grâce au test kinésiologique, qui nous permet de donner la parole à l’Intelligence innée du bébé dès la conception, nous avons pu nommer d’une façon très précise les racines du problème. Claudine nous a dit qu’assez tôt, en fait tout de suite après sa conception, elle a conclu qu’elle n’est pas attendue et qu’elle n’est pas la bienvenue. Plus précisément, elle nous dit croire qu’il y a eu erreur sur la personne et que ses parents attendent quelqu’un d’autre. Elle ajoute qu’à tout moment, elle s’attend à être rejetée lorsque l’enfant qu’elle croit que ses parents attendent réellement se présentera éventuellement dans leur vie.
« Attendre » un bébé…
Le subconscient de Claudine nous dit également que, depuis le début de sa gestation, elle est très angoissée à l’idée de se présenter à ses parents le jour de sa naissance. Elle craint leur réaction de déception lorsqu’ils la verront. Pour essayer d’apaiser son stress, elle tente alors de passer inaperçu. C’est là le sens de l’arrêt de son développement. En dialoguant avec la Sagesse de Claudine, on apprend que l’émotion qui domine actuellement son cœur est la peur, et lorsque l’on peut contempler tout ce qui habite Claudine avec l’altitude que permet la PAB®, on comprend que cette peur est l’aboutissement de pensées qui ne reposent pas sur la réalité. Elles sont issues de cristallisations issues de son passé qui faussent totalement son présent. On parle donc de fausses croyances. Le côté positif de l’avoir identifié c’est que l’on peut maintenant détromper Claudine et lui expliquer la réalité. Quelle est donc la réalité?
On va l’aimer...
Dans la réalité, ses parents ont attendu cette conception pendant plus de quinze ans. Et si, à la vue du résultat du test de grossesse, ils n’ont pas sauté de joie, c’est tout simplement qu’ils ont été désarçonnés par l’annonce de la conception qu’ils n’espéraient plus du tout. Par la suite, ils ont été mal informés sur les possibilités -et l’importance cruciale- d’établir un lien prénatal fort et précoce avec leur enfant. Autrement dit, pendant toute la grossesse, jusqu’à maintenant, ils « attendent » un bébé. Ils se réjouissent de l’aimer… mais après sa naissance, pas maintenant au présent. Alors, pour Claudine nous avons réajusté la situation en la lui expliquant de sorte qu’elle puisse corriger sa perception.
Construire la relation dès maintenant…
En deux premières rencontres rapprochées, nous avons donc débroussaillé quelques pans des passés de Claudine et de ses parents, rajusté les interprétations erronées de chacun et écouté les suggestions de la Sagesse du bébé visant à reconstruire la relation, de sorte que Claudine se sente désirée, attendue, accueillie et aimée dès maintenant.
Un bébé enthousiaste...
À la fin de la première consultation, on a pu constater de façon très évidente le ventre de la mère-en-devenir prendre enfin sa belle ampleur. L'élastique de son pantalon en était même soudainement très inconfortable comme si Claudine osait enfin prendre toute sa place. Lors d’un dernier rendez-vous, trois mois plus tard, quelques jours avant l’accouchement, Claudine avait retrouvé son poids « normal » et nous disait se sentir très enthousiaste à l’idée de passer de son nid utérin aux bras de ses parents...
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La parole de l’enfant prénatal…
Lorsque l’on se met à bien écouter, lui, cet enfant en train de se préparer à se mettre au monde, on constate qu’il peut s’exprimer, puis ensuite qu’il en a long à dire et enfin que ce qu’il dit a beaucoup de sens. Bien sûr, l’enfant prénatal ne maîtrise pas les mots. Un si jeune bébé ne parle pas, mais il s’exprime quand même, et de plusieurs façons. Donner la parole à cet être installé aux premières loges, au moment même où se joue le premier acte de sa vie, nous aide à mieux comprendre cette nouvelle personne et construire la relation. Alors, il est plus facile pour les parents de véritablement l'accueillir, l'accompagner, l'aimer, le comprendre, le connaître et même, dans certains cas, de l'aider... tout cela avant même de le voir. Ces parents qui dialoguent avec leur enfant cessent d’attendre un bébé. Puisqu’il le découvrent déjàa là, déjà présent. Ils arrivent à le rencontrer, l’accueillir et l’accompagner très concrètement.
Des causes prénatales…
Le temps d'une gestation est somme toute assez court et pour cette raison le temps est compté. La période est cruciale parce qu’en ce moment, un nouvel Être est en train de poser les bases physiques et psychiques sur lesquelles s'appuieront les murs de sa personnalité naissante. Les thérapeutes qui se penchent sur les maux des adultes font souvent le rapprochement direct entre ces symptômes de la vie adulte et une cause prénatale. Dans ma pratique, je constate cela très souvent. Bien des auteurs affirment que ces neufs mois de pré-histoire ont un effet majeur sur toute la suite de la vie. Alors, pourquoi ne pas travailler en prévention, c’est-à-dire auprès de l’enfant, bien avant sa naissance de sorte qu’il n’ait pas à passer les quarante années suivantes à défaire et guérir ce qu’il aura vécu au seuil de sa jeune vie?
Lui poser des questions…
Penser et parler à son bébé sont des gestes qui portent fruit, mais il est maintenant possible de rejoindre l’enfant in utero d’une façon encore plus intime en lui donnant littéralement la parole. En effet, grâce à la PAB® que j’ai mise au point en m’inspirant du test musculaire propre à la Kinésiologie Appliquée, les parents-en-devenir peuvent même poser des questions à leur bébé telles que: « Es-tu bien là où tu es? Es-tu confortable, es-tu heureux dans mon ventre? », « Que puis-je faire pour faciliter ta gestation, ta naissance et ton début de vie sur Terre? », « Que viens-tu faire ici, dans ta vie, dans notre vie? », « Qu’est-ce qui est important pour toi maintenant? », et mille autres questions…
L’aider…
Dans certains cas, lui donner la parole nous permet aussi d’aider cet être qui se tient sur le seuil de sa nouvelle incarnation. Il a appelé à l’aide, à sa manière de bébé pas encore né, avec les moyens dont il dispose. Alors, la mère-en-devenir a souffert de contractions trop précoces, de saignements, de perte de liquide amniotique, de décollement partiel du placenta, d’insomnie, d’angoisse ou d’autres maux physiques (diabète gestationnel, haute pression, par exemple). Effectivement, en donnant la parole au bébé, j’ai pris conscience que celui-ci parle bien souvent par l’entremise du corps de sa mère. De son côté, cet enfant in utero parle aussi en ne voulant pas se présenter de la bonne façon, en ne se retournant pas, en ne se développant normalement ou en tardant à déclencher les premières contractions de sa naissance même s’il est vraiment prêt. Tous ces symptômes peuvent être la manifestation de son expression, comme nous l’avons constaté avec Claudine, petit bébé qui naitra dans un peu plus de trois mois, que voici :
L’histoire de Claudine in utero…
Lors de son premier rendez-vous avec moi en P.A.B., au creux de l’utérus de sa mère, Claudine est si petite que le gynécologue soupçonne un arrêt du développement fœtal. À plus de six mois, le ventre de la maman parait à peine bombé. Émue, sa mère m’explique qu’elle croit que Claudine est désintéressée par le fait de rester en vie, pas « accrochée » solidement. Grâce au test kinésiologique, qui nous permet de donner la parole à l’Intelligence innée du bébé dès la conception, nous avons pu nommer d’une façon très précise les racines du problème. Claudine nous a dit qu’assez tôt, en fait tout de suite après sa conception, elle a conclu qu’elle n’est pas attendue et qu’elle n’est pas la bienvenue. Plus précisément, elle nous dit croire qu’il y a eu erreur sur la personne et que ses parents attendent quelqu’un d’autre. Elle ajoute qu’à tout moment, elle s’attend à être rejetée lorsque l’enfant qu’elle croit que ses parents attendent réellement se présentera éventuellement dans leur vie.
« Attendre » un bébé…
Le subconscient de Claudine nous dit également que, depuis le début de sa gestation, elle est très angoissée à l’idée de se présenter à ses parents le jour de sa naissance. Elle craint leur réaction de déception lorsqu’ils la verront. Pour essayer d’apaiser son stress, elle tente alors de passer inaperçu. C’est là le sens de l’arrêt de son développement. En dialoguant avec la Sagesse de Claudine, on apprend que l’émotion qui domine actuellement son cœur est la peur, et lorsque l’on peut contempler tout ce qui habite Claudine avec l’altitude que permet la PAB®, on comprend que cette peur est l’aboutissement de pensées qui ne reposent pas sur la réalité. Elles sont issues de cristallisations issues de son passé qui faussent totalement son présent. On parle donc de fausses croyances. Le côté positif de l’avoir identifié c’est que l’on peut maintenant détromper Claudine et lui expliquer la réalité. Quelle est donc la réalité?
On va l’aimer...
Dans la réalité, ses parents ont attendu cette conception pendant plus de quinze ans. Et si, à la vue du résultat du test de grossesse, ils n’ont pas sauté de joie, c’est tout simplement qu’ils ont été désarçonnés par l’annonce de la conception qu’ils n’espéraient plus du tout. Par la suite, ils ont été mal informés sur les possibilités -et l’importance cruciale- d’établir un lien prénatal fort et précoce avec leur enfant. Autrement dit, pendant toute la grossesse, jusqu’à maintenant, ils « attendent » un bébé. Ils se réjouissent de l’aimer… mais après sa naissance, pas maintenant au présent. Alors, pour Claudine nous avons réajusté la situation en la lui expliquant de sorte qu’elle puisse corriger sa perception.
Construire la relation dès maintenant…
En deux premières rencontres rapprochées, nous avons donc débroussaillé quelques pans des passés de Claudine et de ses parents, rajusté les interprétations erronées de chacun et écouté les suggestions de la Sagesse du bébé visant à reconstruire la relation, de sorte que Claudine se sente désirée, attendue, accueillie et aimée dès maintenant.
Un bébé enthousiaste...
À la fin de la première consultation, on a pu constater de façon très évidente le ventre de la mère-en-devenir prendre enfin sa belle ampleur. L'élastique de son pantalon en était même soudainement très inconfortable comme si Claudine osait enfin prendre toute sa place. Lors d’un dernier rendez-vous, trois mois plus tard, quelques jours avant l’accouchement, Claudine avait retrouvé son poids « normal » et nous disait se sentir très enthousiaste à l’idée de passer de son nid utérin aux bras de ses parents...
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