L'histoire d'Isabelle qui n'arrivait plus à dormir
(ou les héritages inconscients de notre famille)
La femme enceinte est souvent le théâtre d’émotions et de pensées qui pas toujours très confortables. Certaines d’entre elles proviennent parfois de bien loin. Plusieurs sont même véhiculées d’une génération à l’autre. Elles passent d’une mère enceinte à son bébé in utero en une très longue chaîne continue.
Eh oui, les dernières découvertes nous apprennent qu’à la conception nous n’héritons pas seulement de caractéristiques physiques, mais également d’émotions, de sentiments, d’attitudes et de pensées.
Mais voici une bonne nouvelle: prendre conscience de ce bagage rompt cette transmission traumatique et libère même toute la famille.
Des héritages inconscients…
Bien que certains de ces héritages soient très inconfortables et qu’on en constate les effets quotidiennement, ils sont la plupart du temps inconscients. Ils sont cachés dans un repli de notre sous-sol psychique. On les y a refoulés pour plus de confort. L’effet de leur présence au fond de nous est très concret. Chez une femme enceinte, cela peut se confirmer dans des mal-être plus ou moins diffus ou des malaises plus précis qui s’expriment dans son corps, dans son cœur et dans son esprit. Ces legs qui viennent du passé peuvent également s’exprimer chez son enfant après la naissance et même durant sa vie prénatale.
Des legs plus ou moins évidents...
Ces héritages, nous en avons tous reçus à notre insu à un moment ou à un autre de notre petite-enfance, généralement au début de la vie, souvent pendant notre gestation. Certains legs transgénérationnels sont évidents, d’autres le sont moins. Pour mieux comprendre ces fardeaux, suivez avec moi l’histoire de ma cliente Isabelle qui, grâce au nouveau regard lucide qu’elle a osé poser sur son patrimoine psychique, a été témoin d’une si belle guérison non seulement chez elle, mais également chez plusieurs membres des générations passées… et futures.
L’histoire d’Isabelle…
Isabelle est enceinte de vingt semaines. Elle est venue me voir parce qu’elle se sentait angoissée sans raison. Elle dormait très peu, sentant la panique monter en elle dès qu’elle somnolait ou commençait à s’abandonner au sommeil. « Je suis si heureuse d’avoir un bébé. Je n’ai aucune raison de me sentir si angoissée », m’a-t-elle confiée rapidement. « Devenir mère ne m’inquiète pas. Je connais bien les bébés; je me suis occupée de mes sœurs et frères plus jeunes et j’ai énormément gardé mes neveux et mes nièces. Je sais très bien ce qui m’attend. » Et pourtant... elle est si anxieuse depuis le début de sa grossesse.
L’angoisse...
Par définition, l’angoisse est une peur immense que l’on ne peut raisonner par la logique. Elle est caractérisée par le sentiment d’un danger imminent, mais que l’on ne connait pas et que l’on n,arrive ni à mettre en mots ni à identifier de façon consciente. Isabelle n’arrivait pas à comprendre la raison précise de ce qui la rendait si angoissée, mais la Sagesse de son être a pu la nommer et en identifier précisément la cause. Ce que la Conscience d’Isabelle et celle de son bébé ont mis en mots grâce à la PAB® (la Parole Au Bébé) -cette approche que j’ai mise au point en m’inspirant entre autres au test musculaire propre à la Kinésiologie Appliquée- l’a beaucoup étonnée. En effet, à son insu, malgré son assurance apparente, son cœur était lourd d’un bagage venu de loin.
Un grand sacrifice…
Pour résumer, cette maman-en-devenir rejouait inconsciemment le destin de certaines femmes de sa famille, plus précisément de sa lignée maternelle. En effet, pour plusieurs de ses ancêtres, la venue d’un enfant avait souvent été associé à un véritable drame : l’une était morte en couches, à une autre, enceinte de quelques semaines, on avait demandé de sacrifier un amour important pour épouser quelqu’un d’autre de plus prestigieux, l’une avait été obligée de quitter sa famille et son pays et ne les avait plus jamais revus et une autre avait du laisser tomber des projets personnels qui lui tenaient à cœur pour se consacrer totalement à ses très nombreux enfants.
Pas de solution...
Mais le plus important c’est qu’aucune de ces mères n’avait trouvé de solution à son problème ou pu poser de baume sur sa souffrance. Même si Isabelle ne connaissait personnellement toutes aucune de ces femmes de sa lignée ni même leur histoire traumatique, une mémoire subtile était en action en elle. Du fait de ces épreuves encore en attente de pacification, une forme-pensée s’était incrustée en Isabelle qui se traduisait par « devenir mère, c’est se sacrifier ». Dans ces conditions, il était bien compréhensible qu’elle se sente angoissée.
Comme un boulet à la cheville…
Pour Isabelle, avoir mis en mots cette souffrance familiale inconsciente a dénoué la corde qui lui serrait la gorge. Elle a pris conscience que, sans s’en rendre compte, elle avait complètement mis de côté non seulement tout projet individuel, mais également installé au fond de son cœur un sentiment de sacrifice personnel. À sa demande, le bébé in utero d’Isabelle, une fille, a pris aussi la parole durant notre rencontre. Du fond de son petit nid utérin, l’enfant a précisé qu’elle se percevait comme un boulet à la cheville de sa mère. Elle se croyait la cause du sacrifice maternel, et cela l’empêchait de nouer avec sa nouvelle maman-en-devenir une belle relation, facile, libre et joyeuse. Cette perception d’elle-même l’empêchait également de s’ouvrir totalement à sa nouvelle vie.
Coupable...
La minuscule petite fille de quelques semaines nous a dit aussi se sentir coupable d’empêcher sa mère d’exister totalement. Mettre en mots ces sentiments de culpabilité et leurs racines a permis au bébé de reprendre confiance en elle-même. Cela lui a permis de se sentir plus libre de prendre sa place, de se sentir complètement acceptée et digne d’être aimée. De personne fautive, elle s’est libérée de cette impression et s’est donnée la permission de la joie, embrassant dorénavant sa vie avec enthousiasme. Un élixir floral a complété le processus de nettoyage et de pacification pour toutes les deux, mère et fille unies dans une même guérison.
Libérer le bébé...
Le fait de pouvoir dialoguer d’une façon très claire et très précise avec la Conscience sage présente en son Être a aidée Isabelle à prendre soin de ce qu’elle portait, c’est-à-dire son héritage transgénérationnel et son bébé. Par le fait même, elle a aussi libéré son bébé de toute cette lourdeur et coupé complètement d’avec cette ancienne forme-pensée que se léguaient les femmes de sa famille d’une génération à l’autre depuis bien longtemps. Isabelle a pu respirer plus librement, ses insomnies se sont envolées, la boule dans sa gorge a disparu et une belle sérénité a fait place à l’angoisse.
Eh oui, les dernières découvertes nous apprennent qu’à la conception nous n’héritons pas seulement de caractéristiques physiques, mais également d’émotions, de sentiments, d’attitudes et de pensées.
Mais voici une bonne nouvelle: prendre conscience de ce bagage rompt cette transmission traumatique et libère même toute la famille.
Des héritages inconscients…
Bien que certains de ces héritages soient très inconfortables et qu’on en constate les effets quotidiennement, ils sont la plupart du temps inconscients. Ils sont cachés dans un repli de notre sous-sol psychique. On les y a refoulés pour plus de confort. L’effet de leur présence au fond de nous est très concret. Chez une femme enceinte, cela peut se confirmer dans des mal-être plus ou moins diffus ou des malaises plus précis qui s’expriment dans son corps, dans son cœur et dans son esprit. Ces legs qui viennent du passé peuvent également s’exprimer chez son enfant après la naissance et même durant sa vie prénatale.
Des legs plus ou moins évidents...
Ces héritages, nous en avons tous reçus à notre insu à un moment ou à un autre de notre petite-enfance, généralement au début de la vie, souvent pendant notre gestation. Certains legs transgénérationnels sont évidents, d’autres le sont moins. Pour mieux comprendre ces fardeaux, suivez avec moi l’histoire de ma cliente Isabelle qui, grâce au nouveau regard lucide qu’elle a osé poser sur son patrimoine psychique, a été témoin d’une si belle guérison non seulement chez elle, mais également chez plusieurs membres des générations passées… et futures.
L’histoire d’Isabelle…
Isabelle est enceinte de vingt semaines. Elle est venue me voir parce qu’elle se sentait angoissée sans raison. Elle dormait très peu, sentant la panique monter en elle dès qu’elle somnolait ou commençait à s’abandonner au sommeil. « Je suis si heureuse d’avoir un bébé. Je n’ai aucune raison de me sentir si angoissée », m’a-t-elle confiée rapidement. « Devenir mère ne m’inquiète pas. Je connais bien les bébés; je me suis occupée de mes sœurs et frères plus jeunes et j’ai énormément gardé mes neveux et mes nièces. Je sais très bien ce qui m’attend. » Et pourtant... elle est si anxieuse depuis le début de sa grossesse.
L’angoisse...
Par définition, l’angoisse est une peur immense que l’on ne peut raisonner par la logique. Elle est caractérisée par le sentiment d’un danger imminent, mais que l’on ne connait pas et que l’on n,arrive ni à mettre en mots ni à identifier de façon consciente. Isabelle n’arrivait pas à comprendre la raison précise de ce qui la rendait si angoissée, mais la Sagesse de son être a pu la nommer et en identifier précisément la cause. Ce que la Conscience d’Isabelle et celle de son bébé ont mis en mots grâce à la PAB® (la Parole Au Bébé) -cette approche que j’ai mise au point en m’inspirant entre autres au test musculaire propre à la Kinésiologie Appliquée- l’a beaucoup étonnée. En effet, à son insu, malgré son assurance apparente, son cœur était lourd d’un bagage venu de loin.
Un grand sacrifice…
Pour résumer, cette maman-en-devenir rejouait inconsciemment le destin de certaines femmes de sa famille, plus précisément de sa lignée maternelle. En effet, pour plusieurs de ses ancêtres, la venue d’un enfant avait souvent été associé à un véritable drame : l’une était morte en couches, à une autre, enceinte de quelques semaines, on avait demandé de sacrifier un amour important pour épouser quelqu’un d’autre de plus prestigieux, l’une avait été obligée de quitter sa famille et son pays et ne les avait plus jamais revus et une autre avait du laisser tomber des projets personnels qui lui tenaient à cœur pour se consacrer totalement à ses très nombreux enfants.
Pas de solution...
Mais le plus important c’est qu’aucune de ces mères n’avait trouvé de solution à son problème ou pu poser de baume sur sa souffrance. Même si Isabelle ne connaissait personnellement toutes aucune de ces femmes de sa lignée ni même leur histoire traumatique, une mémoire subtile était en action en elle. Du fait de ces épreuves encore en attente de pacification, une forme-pensée s’était incrustée en Isabelle qui se traduisait par « devenir mère, c’est se sacrifier ». Dans ces conditions, il était bien compréhensible qu’elle se sente angoissée.
Comme un boulet à la cheville…
Pour Isabelle, avoir mis en mots cette souffrance familiale inconsciente a dénoué la corde qui lui serrait la gorge. Elle a pris conscience que, sans s’en rendre compte, elle avait complètement mis de côté non seulement tout projet individuel, mais également installé au fond de son cœur un sentiment de sacrifice personnel. À sa demande, le bébé in utero d’Isabelle, une fille, a pris aussi la parole durant notre rencontre. Du fond de son petit nid utérin, l’enfant a précisé qu’elle se percevait comme un boulet à la cheville de sa mère. Elle se croyait la cause du sacrifice maternel, et cela l’empêchait de nouer avec sa nouvelle maman-en-devenir une belle relation, facile, libre et joyeuse. Cette perception d’elle-même l’empêchait également de s’ouvrir totalement à sa nouvelle vie.
Coupable...
La minuscule petite fille de quelques semaines nous a dit aussi se sentir coupable d’empêcher sa mère d’exister totalement. Mettre en mots ces sentiments de culpabilité et leurs racines a permis au bébé de reprendre confiance en elle-même. Cela lui a permis de se sentir plus libre de prendre sa place, de se sentir complètement acceptée et digne d’être aimée. De personne fautive, elle s’est libérée de cette impression et s’est donnée la permission de la joie, embrassant dorénavant sa vie avec enthousiasme. Un élixir floral a complété le processus de nettoyage et de pacification pour toutes les deux, mère et fille unies dans une même guérison.
Libérer le bébé...
Le fait de pouvoir dialoguer d’une façon très claire et très précise avec la Conscience sage présente en son Être a aidée Isabelle à prendre soin de ce qu’elle portait, c’est-à-dire son héritage transgénérationnel et son bébé. Par le fait même, elle a aussi libéré son bébé de toute cette lourdeur et coupé complètement d’avec cette ancienne forme-pensée que se léguaient les femmes de sa famille d’une génération à l’autre depuis bien longtemps. Isabelle a pu respirer plus librement, ses insomnies se sont envolées, la boule dans sa gorge a disparu et une belle sérénité a fait place à l’angoisse.